La chaleur colle aux murs et les voix vibrent dans la poussière.
Rien ne presse, rien ne s’agite.
Le soleil poursuit sa course, lentement,
dans la torpeur de l’été.
La chaleur colle aux murs et les voix vibrent dans la poussière.
Rien ne presse, rien ne s’agite.
Le soleil poursuit sa course, lentement,
dans la torpeur de l’été.